File:Herculanum et Pompéi, recueil général des peintures, bronzes, mosaïques, etc., découverts jusqu'à ce jour, et reproduits d'apreès Le antichita di Ercolano, Il Museo borbonico, et tous les ouvrages (14596694957).jpg

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Title: Herculanum et Pompéi, recueil général des peintures, bronzes, mosaïques, etc., découverts jusqu'à ce jour, et reproduits d'apreès Le antichita di Ercolano, Il Museo borbonico, et tous les ouvrages analogues
Year: 1870 (1870s)
Authors: Barré, Louis, 1799-1857 Roux, H. (Henri), Sr Bouchet, Adolphe
Subjects: Art, Greco-Roman
Publisher: Paris, Firmin Didot frères, fils et cie
Contributing Library: Harold B. Lee Library
Digitizing Sponsor: Brigham Young University

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cest enfinun adoucissement de lhorreur par la pitié, que davoirreprésenté les deux enfants occupés à jouer aux osseletssous les yeux de leur pédagogue, pendant que leur mèrefurieuse, insensée, se prépare à verser ce sang qui apassé par son cœur, à éteindre ce souffle de vie qui futle sien. Cette idée est dun grand tragique ou dun grandpeintre. Remarquez encore que les enfants, tout entiers àleurs jeux, ne lèvent point les yeux vers leur mère,Un regard, un sourire, désarmerait Médée même. PLANCHE 104. Différentes conjectures ont été émises sur le sujet decette fresque trouvée en 1829 dans lédifice appelé Mai-son de Méléagre. A la première vue, on a cru y reconnaître les troisparties du monde, et cette hypothèse, la plus simple,est peut-être aussi la plus raisonnable. Sur un trônedivoire, qui est couvert dune draperie bleu céleste, etdont les pieds sont ornés de sphinx grecs, on voit unefemme aux traits majestueux et délicats, vêtue dune PEINTURES
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■^cAeé DEUXIÈME SERIE. 27 exomide à une manche (éTspo;j.a<r/aXo;) (i) dun vert chan-geant, avec un péplum violet : cette femme ne peut êtreque lEurope, dont la suprématie est indiquée, tant parsa position même et par le scabellum doré, que parla présence de cette esclave vêtue de vert qui tient unparasol au-dessus de la tête de sa maîtresse. A la gauchede lEurope, lAsie est représentée par une femme vêtuedune systide jaune et dun manteau blanc qui couvreen partie le socle ou le piédestal sur lequel elle sac-coude : elle est coiffée dune espèce de chapeau quireprésente la proboscide, les défenses et les oreillesdun éléphant. Sur la droite de la figure assise se trouveune femme à la peau noire, aux cheveux crépus, revêtuedune tunique violette, ayant au cou un collier de perles,et portant en main une corne de rhinocéros : cette figurene peut être que lAfrique. Une première circonstance ne concorde pas facilementavec lexplication qui précède, cest quà

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